Omar l'a tuée

Vérité et manipulations d'opinions. Enfin une information contradictoire sur l'"Affaire Omar Raddad".
«En 1894 on condamnait un jeune officier parce qu’il avait le seul tort d'être juif ; en 1994 on condamnait un jeune jardinier qui avait lâchement tué une femme âgée sans défense. En 1906 Alfred DREYFUS fut réhabilité alors que Omar RADDAD est un condamné définitif. Un était innocent, l'autre est coupable ». - Georges Cenci

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Extraits de l'ouvrage

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Avec l'aimable autorisation de reproduction délivrée par mon éditeur : les © Editions l’Harmattan.

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Chapitre IV ; extrait n°15

Enquête sur commission rogatoire (...la suite) Les prostituées Abordons la fréquentation des prostituées. Cela permet d’apprécier le bon père de famille sous un autre trait qui n’a rien celui-là de télévisuel.

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Chapitre IV ; extrait n°14

Enquête sur commission rogatoire (...la suite) Les demandes d'avances (...) Les investigations démontrent que c’est depuis le mois de juillet 1990 qu’apparaît la première mention d’une avance accordée par les deux femmes.

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Chapitre IV ; extrait n°13

L'enquête sur commission rogatoire (...la suite) L'impossible mise en scène Il est bien évident que je me suis interrogé sur une possible mise en scène. Je l’aborde dans mon rapport où je m’implique lorsque j’écris : "Les caractères nets, appliqués, non déformés, écrits par une personne lucide et déterminée, excluent toute écriture sous la menace et la contrainte".

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Chapitre IV ; extrait n°12

L'enquête sur commission rogatoire. (suite) Ghislaine Marchal reconnaît son agresseur Pour vous prémunir d’un coup que vous voyez arriver, vous allez faire un geste de protection. C’est ainsi. Ghislaine Marchal n’a pas été assaillie par derrière mais bien lorsqu’elle faisait face à son agresseur.

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Chapitre IV ; extrait n°11

L'enquête sur commission rogatoire. (suite) Détermination de l'heure du crime. J’écris dans mon procès-verbal de synthèse : "C’est ainsi que l’on détermine que Ghislaine Marchal a été agressée le dimanche 23 juin 1991, entre 11 h 50 et 13 h".

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Chapitre IV ; extrait n°10

L'enquête sur commission rogatoire L'autopsie Les constatations médico-légales sont fondamentales pour comprendre comment Ghislaine Marchal a été agressée.

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Chapitre III ; extrait n°9

L'enquête judiciaire (suite) Les vérifications, encore très fragmentaires, de l’emploi du temps ne confirment pas la longue déposition de Raddad. Il n’est vu ni à la boulangerie ni au Lotus. Cela n’en fait pas nécessairement un coupable mais un suspect dont il conviendra de vérifier point par point les détails de sa déclaration.

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Chapitre III ; extrait n°8

L'enquête judiciaire (suite) (...) Omar Raddad est longuement entendu. Douze pages d’audition en témoignent. Plusieurs enquêteurs se relaient entre chaque plage de repos.

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Chapitre III ; extrait n°7

L'enquête judiciaire (suite) (...) Dans la cave, les gendarmes Gervais et Vessiot me font le récit de leurs investigations qu’ils consignent dans un procès-verbal spécifique.

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Chapitre III ; extrait n°6

L'enquête judiciaire (...) Nous faisons ensemble le point afin que je puisse donner les premières directives. Quels sont les éléments objectifs majeurs qui apparaissent à l’ouverture de l’enquête de crime flagrant ?

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Chapitre II ; extrait n°5

La découverte du corps de Ghislaine Marchal Lundi 24 juin 1991. 19 h 30. Il fait encore jour. Les deux gendarmes descendent l’escalier dont l’accès est protégé par un portillon. Ils se retrouvent devant une porte métallique verrouillée.

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Chapitre I ; extrait n°4

- I - L’inquiétant silence de Ghislaine Marchal Dimanche 23 juin 1991. Mougins (Alpes-Maritimes). C’est le jour anniversaire de Marius, l’époux de Colette Koster qui a lancé les invitations à déjeuner depuis au moins trois semaines. Dès 13 h, les invités arrivent au mas St-Simon. A 13 h 30, la maîtresse de maison est tout d’abord surprise du retard de Ghislaine Marchal dont elle connaît la ponctualité.

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Avant-propos ; extrait n°3

Avant-propos Le 23 juin 1991, la vie de Ghislaine De Renty veuve Marchal, bascule. Agonisante dans le sous-sol de sa propriété où son meurtrier l’a enfermée, elle va, dans les affres de la mort, le dénoncer - sans témoin, avec son sang, pour que le crime ne reste pas impuni. Onze ans ont passé. Qui se souvient encore de Ghislaine De Renty si ce ne sont sa famille et ses amis ! Vous souvenez-vous de cette "femme - courage", égorgée, éventrée, mutilée, transpercée à l’arme blanche ? Vous souvenez-vous d’elle qui repose depuis très longtemps dans les abysses de l’oubli ? C’est ainsi, les victimes ne sont qu’éphémères au regard de l’actualité.

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Préface ; extrait n°2

(...) Mes ambitions professionnelles plus modestes et ma conception de mon devoir paraissaient imposer, sans connivence ni rupture, la recherche de la défense la plus utile aux intérêts du justiciable qui m’était confié : sans fuir ou taire systématiquement la vérité – conception semble-t-il aussi archaïque de nos jours que le fait d’avouer une hétérosexualité.

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Préface ; extrait n°1

Préface de Armand Djian Président de chambre honoraire près la Cour d’appel d’Aix-en-Provence Capitaine honoraire Souvenirs et réflexions Onze ans de silence médiatique et stoïque pour le capitaine Cenci depuis le début de son enquête. Huit ans en ce qui me concerne depuis le début du procès, à l’exception de trois discrètes mises au point sur des propos outrageants et provocateurs envers la Justice et en déclinant, de ma seule initiative, une quinzaine d’invitations à des séances d’interviews ou de justice spectacle.

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